Vannes : un habitat toujours présent !

Créée au fond d’une ria, Vannes doit aux Romains les bases de la ville fortifiée du Moyen Age. A la fin du XIVe siècle, la ville devient une des résidences favorites des ducs de Bretagne. L’extension de l’enceinte vers le port double la superficie de la ville close.

Intra-muros, de nombreuses maisons à pans de bois ponctuent les rues étroites qui entourent la cathédrale, reconstruite à partir du XVe siècle. Cette « ville de bois » se complète d’une « ville de pierre » à l’époque classique. Le commerce maritime est alors à son apogée

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Saint-Jacques de la Baie de Quiberon: une des perles du Morbihan

Quiberon, c’est partie pour

la saison de la coquille Saint-Jacques .

La star des étals.


Dotée d’une grosse noix et coraillée, la coquille Saint-Jacques de la Baie de Quiberon et des courreaux de Belle-Île sont parmi les plus appréciées des connaisseurs.

Sous la lumière de la pleine lune, quelques silhouettes fantomatiques de navires se dessinent au ponton. Il est à peine 7 h 30, le jour n’est pas encore levé mais un coup de tabac ralentit les élans  en ce mois de novembre. Alors certains observent et vont continuer pour le poisson.

Sur le quai de Port-Haliguen, au bout de la presqu’île de Quiberon, c’est déjà l’effervescence. Aujourd’hui, pour la flottille armée à la coquille Saint-Jacques, c’est jour de pêche. Le temps que les moteurs diesel montent en température et les bateaux se glissent les uns après les autres entre la digue et le brise-lames.

Si la période de pêche à la coquille est plutôt courte, c’est une saison à ne pas rater pour le marin-pêcheur.  Très prisée des gourmets, avec son corail et sa grosse noix, la Saint-Jacques morbihannaise est la star des étals de poissonniers à l’approche des fêtes de fin d’année.

Une précieuse ressource vivante que les pêcheurs ont appris à gérer avec soin. Chaque année, des prélèvements sont effectués en collaboration avec l’Ifremer afin d’estimer la population de Saint-Jacques. En fonction de l’état des stocks, un calendrier est arrêté, avec des zones de pêche, des jours et des horaires à respecter.

Cinquante-quatre pêcheurs ont pris leur licence cette année, la saison s’étalera jusqu’au 10 mai.

A Quiberon, notre référence reste la   Poissonnerie le Cormoran 

Lire aussi notre article : https://vivrequiberon.com/2018/04/04/le-pecten-maximus-un-produit-de-saison-a-quiberon/

Quiberon 2018: Cérémonies d’hommage – 10 & 11 Novembre

Lundi 11 novembre 1918, 11 heures :

dans toute la France, les cloches sonnent à la volée.

Au front, les clairons bondissent sur les parapets et sonnent le « Cessez-le-Feu », « Levez-vous », « Au Drapeau ». La « Marseillaise » jaillit à pleins poumons des tranchées. Même soulagement en face, dans le camp allemand.

Cérémonies d’hommage

Samedi 10 novembre
11h – Cimetière de Quiberon
Dépôt de gerbes sur les 5 tombes abandonnées des soldats Morts pour la France
Musique par Kadoudal Drum & Bugle Corps

Dimanche 11 novembre
9h30 – Église Notre Dame de Locmaria (Quiberon) et de Saint Pierre Quiberon
Messe
10h30 – Monument aux morts de Saint Pierre Quiberon
Cérémonie
10h45 – Hôtel de Ville de Quiberon
Rassemblement
11h – Monument aux morts de Quiberon
Lecture par les élèves des écoles
11h – Carillon église de Saint Pierre Quiberon
11h11 – Cimetière de Saint Pierre Quiberon

Dépôt d’une gerbe, de drapeaux et de bougies par les élèves des écoles
11h11
Carillon église Notre Dame de Locmaria (Quiberon) à l’heure exacte de la signature de l’armistice

A Quiberon, il va falloir être patient !

Les opérations de déblaiement après l’explosion au gaz vont prendre du retard.

4 mois après l’explosion au gaz qui avait fait 5 blessés, la Mairie, les habitants, et les commerçants continuent d’attendre le déblaiement des gravas. Des dizaines de bâtiments avaient été touchés par l’explosion et l’incendie qui a suivi.

On pensait que le déblaiement pouvait intervenir rapidement.

Mais ce ne sera  pas le cas, car de l’amiante a été découvert dans le bâtiment de la poste.

Or c’est un peu la surprise, la découverte d’amiante va nécessiter  plusieurs  semaines d’études, suivies de 4 à 5 semaines de  « désamiantage ».

Résultat, il ne va rien se passer avant la fin du mois de janvier 2019. Les gravas dans la rue là où il y avait la crêperie de la Duchesse Anne, les barrières avec les bâches, le camion de la Brulerie de la Presqu’île, tout ceci va donc rester un bon moment.

C’est une situation difficile dit on à la Mairie de Quiberon. Le déblaiement et nettoyer le site c’est un vrai souhait, et là on apprend, presque par inadvertance, qu’il y a de l’amiante qu’il faut bien sûr enlever.

Car la priorité reste bien sûr de rendre accessible cette partie du centre de Quiberon. En dehors de la poste dont la Mairie attend la remise en fonction dans les meilleures conditions, se pose aussi par exemple, l’avenir de la brûlerie de la Presqu’île, l’épicentre de l’explosion, il reste la façade, une reconstruction partielle couterait évidemment moins chère aux assurances?