
Les opérations de déblaiement après l’explosion au gaz vont prendre du retard.
4 mois après l’explosion au gaz qui avait fait 5 blessés, la Mairie, les habitants, et les commerçants continuent d’attendre le déblaiement des gravas. Des dizaines de bâtiments avaient été touchés par l’explosion et l’incendie qui a suivi.
On pensait que le déblaiement pouvait intervenir rapidement.
Mais ce ne sera pas le cas, car de l’amiante a été découvert dans le bâtiment de la poste.
Or c’est un peu la surprise, la découverte d’amiante va nécessiter plusieurs semaines d’études, suivies de 4 à 5 semaines de « désamiantage ».
Résultat, il ne va rien se passer avant la fin du mois de janvier 2019. Les gravas dans la rue là où il y avait la crêperie de la Duchesse Anne, les barrières avec les bâches, le camion de la Brulerie de la Presqu’île, tout ceci va donc rester un bon moment.
C’est une situation difficile dit on à la Mairie de Quiberon. Le déblaiement et nettoyer le site c’est un vrai souhait, et là on apprend, presque par inadvertance, qu’il y a de l’amiante qu’il faut bien sûr enlever.
Car la priorité reste bien sûr de rendre accessible cette partie du centre de Quiberon. En dehors de la poste dont la Mairie attend la remise en fonction dans les meilleures conditions, se pose aussi par exemple, l’avenir de la brûlerie de la Presqu’île, l’épicentre de l’explosion, il reste la façade, une reconstruction partielle couterait évidemment moins chère aux assurances?