Voulez-vous vraiment voir ça?


La mouette est un éclat de rire, habillé de blanc, qui se moque de la gravité.
« Vivre Quiberon » un collectif fondée en 2020, souhaite promouvoir une écologie responsable en combattant le monopole médiatique des « pseudo-écologistes » et en militant pour une réelle écologie responsable et soucieuse des paysages, des traditions, des libertés. Il entend s’opposer farouchement aux thèses de l’écologisme et faire pression pour que les décideurs appliquent des propositions de bon sens. Elle exige notamment des bilans d’efficacité sur chaque mesure prise au nom de l’écologie par les responsables politiques en place, ce qui semble relever d’une transparence saine en démocratie.
Vous voulez cela près de chez vous :
Ce n’est pas la production d’électricité par éolienne qui est polluante, mais la construction, l’installation, et le démantèlement de ces engins. En effet, leur construction (en particulier en mer) nécessite l’utilisation de terres rares provenant en majorité de Chine. L’extraction est très polluante, qui plus est dans un pays qui ne respecte pas les normes environnementales européennes. L’étude insiste également sur les pales qui, aux Etats-Unis par exemple, sont enterrées car elles ne peuvent pas être recyclées (tout comme les batteries). A cela s’ajoute le fait que, pour des éoliennes terrestres dont la durée de vie est de 22 ans, il faut couler un socle en béton pesant jusqu’à 800 tonnes. Enfin, le rapport démontre que pour compenser le faible rendement de l’éolien, des pays, l’Allemagne par exemple, se tournent vers les centrales à charbon, au bilan carbone désastreux.
L’éolien est dangereux pour la faune. Les animaux volants sont victimes de collisions avec des pales : 250 000 chauves-souris (très utiles pour la biodiversité), 56 000 oiseaux divers, meurent ainsi chaque année, selon l’étude. Les vaches qui se hasardent à brouter trop près des moulins à vent version moderne sont également impactées.
Les animaux des mers et des océans ne sont pas épargnés. Les éoliennes offshore, de leur construction à leur utilisation, entraîneraient, chez les mammifères marins et les poissons, des pertes d’audition, des modifications du comportement, des blessures. Certains mourraient même, selon une étude réalisée en 2018 par l’Académie nationale des sciences américaines, à cause des ondes de pression, des changements dans leur alimentation et des modifications dans les migrations, que provoquent les éoliennes.
Quant aux humains… le bruit des pales, bien que réglementés par la loi, impacterait la santé des riverains. Pour l’Académie nationale de médecine, « Si l’éolien terrestre ne semble pas induire directement des pathologies organiques, il affecte au travers de ses nuisances sonores et surtout visuelles, la qualité de vie d’une partie des riverains et donc leur […] bien-être physique, mental et social ».
Rien de tout cela ne semble gêner les écologistes pourtant prompts à demander, pour bien moins que ça, l’arrêt de nombre de chantiers utiles.
L’énergie éolienne est fortement subventionnée, comme au Texas. Mais le rapport préfère s’attarder sur la non-concurrence et les taxes. L’électricité est un secteur concurrentiel et soumis au prix du marché. Sauf quand elle provient de l’éolien. Le prix d’achat de l’énergie éolienne est garanti par l’État, régulé et fixé par arrêté. Le surcoût est alors à la charge des consommateurs au travers des taxes, dont la fameuse contribution au service public de l’électricité, qui a augmenté de 650 % depuis 2002 !
Le contribuable paye les taxes, mais aussi les divers renflouements d’EDF par l’Etat. En 2013, c’est 4.9 milliards d’euros d’argent public qui ont été versés à l’entreprise. Le consommateur subit également les foudres de la fiscalité verte, telle la taxe intérieure de consommation sur les produits énergétiques, à l’origine de la crise des gilets jaunes.
Mais le coût de l’éolien ne s’arrête pas là. Il fait également perdre de la valeur aux biens immobiliers. Selon la London School of Economics, le prix d’une maison baisse d’environ 5-6% avec un parc éolien de 11 turbines visible à moins de 2 km. Non seulement l’Etat va dans certains cas jusqu’à exproprier les agriculteurs d’une partie de leurs terrains, diminuant leur production et leurs revenus, mais en plus les habitations subissent une décote injuste. Un danger pour l’économie locale et le tourisme
elle n’est pas toujours bienvenue auprès des agriculteurs, et elle affecte aussi les économies locales.
La pêche, notamment. L’installation d’éoliennes offshore provoque une grande inquiétude chez les pêcheurs. Déstabilisés par l’accord avec la Grande-Bretagne qui les désavantage, ainsi que par les normes et les réglementations qui les accablent, ils doivent maintenant faire face à ce qui apparaît comme un nouveau fléau. Dans les zones de pêche déjà restreintes par le Brexit, les monstres de béton et d’acier pourraient bien faire fuir les bancs de poissons…
L’énergie éolienne affecte aussi le tourisme, un secteur essentiel en France. Un rapport d’Action écologie reprend différentes études montrant que les éoliennes chassent les visiteurs à 20 km à la ronde d’une localité. Voire beaucoup moins, lorsqu’il s’agit de louer un hébergement. Selon l’association des hébergeurs touristiques de l’Indre, 97% des demandes sont annulées si des éoliennes sont visibles à 2 km ; à 10km, c’est encore 95% qui fuient.
Elles dévalorisent également le patrimoine culturel, naturel et historique d’une région. Quel amateur de beaux paysages applaudirait à la forêt d’éoliennes qui flanque la montagne Sainte-Victoire ? Les 22 mâts ont été déclarés illégaux fin mars par le tribunal administratif mais la bataille n’est pas terminée. Qui dit site naturel défiguré, dit moins, voire plus du tout de touristes. Et c’est toute une économie locale qui est pénalisée.
Cela fait longtemps que l’IREF dénonce avec force les supercheries de la transition écologique et le dénigrement acharné subi par l’énergie nucléaire, qui produit 75 % de notre électricité. Pour le même rendement, combien d’éoliennes faudrait-il installer sur le territoire ? Une centrale nucléaire est même plus propre qu’un parc éolien ! Elle émet moins de 10 gr CO2/ Kwh contre 14 pour l’éolien et 60 pour le photovoltaïque. Et grâce au progrès, que ce soit sous forme d’un laser réduisant la radioactivité des déchets d’un million d’années à 30 minutes, ou d’une fusion atomique qui n’en produit que très peu, le nucléaire a toutes les chances de rester la solution la plus viable et la plus écologique de production d’électricité.
Une quarantaine de gérants de cafés et bars bretons ont signé un communiqué commun contre le passe sanitaire. Ils craignent la disparition du lien social de leurs établissements.
Bistrots de campagne, cafés de quartier ou bars de ville, des établissements bretons ont signé un communiqué commun contre la mise en place du passe sanitaire qui doit avoir lieu lundi 9 août si le projet de loi n’est pas retoqué par le Conseil constitutionnel ce jeudi. Intitulé « Pour un bistrot ouvert à toutes et tous : non à l’application du passe sanitaire dans nos lieux de quotidienneté », le communiqué rassemble une quarantaine de bistrots bretons au sein d’un collectif informel.
Pour les signataires, le passe sanitaire « consiste à contrôler, trier et séparer les habitants de la commune, et autres utilisateurs du lieu. Cela revient à refuser de servir un verre ou permettre d’assister à une animation (concert, conférence, exposition, atelier, etc.) à des personnes que nous côtoyons depuis des années ».
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Depuis dimanche soir, les plages de la presqu’île de Quiberon sont interdites d’accès entre 21h et 7h du matin. Cet arrêté de la municipalité cible particulièrement les jeunes fêtards.
Toujours pour lutter contre l’épidémie, la ville de Quiberon en Bretagne vient de prendre une décision forte en fermant tous les soirs les plages et les parcs. Avec l’arrivée de nombreux vacanciers, la municipalité souhaite éviter les soirées sur la plage. Dans cette ville, le foyer de contamination touche essentiellement des jeunes, âgés entre 18 et 25 ans, souvent asymptomatiques. En trois jours, le nombre de cas positif au Covid-19 a été multiplié par dix. Les autorités sanitaires appellent la jeunesse à prendre conscience de la situation à Quiberon comme en France.
Ce sujet a été diffusé dans le journal télévisé de 20H du 27/07/2020 présenté par Julien Arnaud sur TF1.
Après avoir recensé 54 jeunes atteints de la Covid-19, la commune de Quiberon, en Bretagne, a décidé d’interdire ses plages et ses parcs entre 21 h et 7 h.
Alors que la Bretagne fait partie des départements classés en rouge concernant la reprise de l’épidémie de Covid-19, la station balnéaire du Morbihan, Quiberon, a décidé d’interdire l’accès aux plages entre 21 h le soir et 7 h du matin.
La situation sanitaire a rapidement dégénéré sur la presqu’île de Quiberon (Bretagne), très prisée des touristes. D’un cas identifié le 21 juillet, la commune comptait dimanche 54 personnes infestées, un public majoritairement jeune, âgé de 18 à 25 ans, qui a participé à des rassemblements privés ou fréquenté des bars de la commune.
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« Les chiffres de contamination augmentent sur Quiberon », explique le préfet qui attend les résultats des 230 tests réalisés samedi.
En conséquence, il pourrait également décider de « fermer les établissements dans lesquels on aurait détecté plusieurs cas de façon concomitante ». « Chaque minute qui passe, ma volonté d’être extrêmement ferme croît », assure Patrice Faure, excédé par le nombre de soirées festives organisées par « la jeunesse qui est en vacances ou réside ici ignorant le danger de contracter et diffuser le virus ». Les équipes de gendarmerie ont été « massivement renforcées » mais, regrette le représentant de l’Etat, « nous sommes en France dans un pays latin et seule la fermeté semble pouvoir faire reprendre raison à certains ».
Une soirée dansante dans un bar à l’origine d’un cluster
Révélé le 21 juillet, le « patient zéro » est un saisonnier travaillant au Super U de Quiberon. Le virus se serait propagé dans un cercle restreint à l’occasion d’une soirée dansante organisée dans un bar de la presqu’île.
Ce vendredi, 24 juillet les gérants de ce bar ont été entendus par les gendarmes.
Un arrêté de fermeture de quatre mois », a fait savoir le préfet du Morbihan. Ce dernier n’a pas caché son agacement quant au comportement du premier malade face aux autorités sanitaires. « Le premier cas a eu la mauvaise attitude. Il a menti et n’a pas tout dit quand on lui a demandé qui il avait vu et ce qu’il avait fait. C’est une faute. Et c’est dangereux », regrette Patrice Faure.
L’Hacienda Café était une discothèque avant le confinement
L’Hacienda Café, une ancienne boîte de nuit qui s’était arrangée avec l’interdiction d’ouverture en se transformant en bar musical de nuit. après le déconfinement. Le préfet du Morbihan lui a toutefois notifié une fermeture administrative de deux mois.
Irresponsabilité » de la jeunesse
« Je note une irresponsabilité de la jeunesse », a souligné le préfet du Morbihan, Patrice Faure, ce dimanche, interrogé sur France Inter. Il appelle les parents à la responsabilité et n’exclut pas de prendre des mesures strictes qui pourraient aller jusqu’à « l’interdiction des rassemblements de plus de dix personnes » et la fermeture « des bars à partir d’une certaine heure, par exemple 19 heures », estimant que c’est une question de santé publique et quand bien même cela ferait « grincer des dents ».
Tous les cas contact ont passé la soirée dans le bar
Interrogé par la cellule de « contact tracing », le saisonnier n’avait pas précisé avoir participé à une soirée dans un bar. Cinq cas contact positifs ont d’abord été détectés par l’ARS avant qu’une autre alerte ne soit donnée. Dans la commune, un médecin a alerté la Caisse primaire d’assurance maladie après avoir vu plusieurs patients présentant les symptômes du Covid-19. Testées positives, ces personnes ont déclaré avoir passé la soirée dans l’établissement de nuit fréquenté par le saisonnier. Les salariés du supermarché où il travaillait ont également été testés. « C’était négatif parce que les gestes barrière y sont bien respectés ».
Confinés à leur domicile ou et au sein d’une Cellule territoriale d’appui à l’isolement, les malades doivent rester à l’isolement. L’ARS cherche désormais à savoir si d’autres cas contact ont pu être contaminés. En attendant les résultats des derniers tests, les autorités se veulent rassurantes. « On reçoit des appels de gens qui nous demandent s’ils doivent annuler leur location à Quiberon. Il ne faut pas céder à la psychose. La situation est gérée et le maire a pris un arrêté imposant le port du masque dans les rues les plus fréquentées. Nous n’allons pas confiner Quiberon ».
Les autorités serrent la vis.
Les services de l’État ont ordonné la fermeture de l’Hacienda Café. 230 tests ont été effectués samedi, les résultats sont attendus ce dimanche soir ou demain lundi.
Depuis, la mairie de la commune a également annoncé fermer ses plages et ses parcs de 21 heures à 7 heures du matin, dès dimanche soir, rapporte France Bleu Armorique.
« Ce que nous constatons, c’est que tous les cas positifs sur la commune sont des jeunes de 18 à 25 ans. Ils sont liés à des regroupements de plus de dix personnes qui se rejoignent tardivement la nuit sur la Grande plage. Nous sommes contraints de devoir interdire ces regroupements. Notre souhait, c’est de protéger nos touristes, et de passer un message fort envers une certaine population qui ne prend pas les précautions nécessaires », explique à France Bleu Gildas Quendo, premier adjoint au maire de Quiberon.
Après l’émergence de cas groupés suite à des rassemblements familiaux dans le Finistère, le cluster de Quiberon semble confirmer le respect des gestes barrière et du port du masque.
Le masque obligatoire dans certaines rues du centre-ville
Les mesures ont été prises pour tracer les dix cas identifiés au sein d’un même foyer de contamination sur le territoire de la commune.
Par précaution, le port du masque est rendu obligatoire dans une partie du centre-ville, de la gare ferroviaire à la place Hoche et le long du front de mer de la gare maritime au Kasino, selon le plan ci-dessous. Le non-respect de cette mesure est passible d’une amende de 135 euros.
Conformément aux préconisations nationales, le dispositif de tests Covid-19 est étendu. Le dépistage est pour le moment réservé aux personnes munies d’une prescription médicale et identifiées comme contact.
Pour la sécurité de chacun, soyons prudent pour nous-même et les autres en respectant en toute circonstance les gestes barrière et la distanciation sociale.
place de la Gare, à partir du 17 rue de la Gare, rue de Verdun, place et esplanade Hoche, boulevard Chanard, promenade de la Plage, place du Corsaire, quai de l’embarcadère
La ville de Quiberon (Morbihan) compte désormais un « cluster » après la découverte de dix cas positifs dans l’entourage d’un premier cas confirmé dimanche 19 juillet 2020. Le port du masque est rendu obligatoire sur deux axes passants de la ville et les tests vont se multiplier.
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Un incendie s’est déclaré dans les locaux de la boulangerie Maison Bihan, avenue du Général de Gaulle, à Quiberon (Morbihan). Les cinq employés, qui étaient sur place ce matin, n’ont pas été blessés.
Les pompiers de Quiberon et Carnac sont intervenus pour éteindre le foyer principal et éviter que le feu ne se propage au magasin de matériel médical et à la pharmacie attenants.
Vingt pompiers, avec cinq engins dont la grande échelle, étaient mobilisés, ainsi que la gendarmerie et la police municipale. Un périmètre de sécurité a été installé et la circulation déviée dans les rues environnante. Trois lances sont mises en place pour éteindre le foyer principal et stopper la propagation des flammes à la pharmacie .
À 9 h le feu était éteint et les sapeurs pompiers s’employaient à sécuriser le bâtiment, évacuer les déblais et finaliser l’extinction. Le temps de l’intervention, la circulation sur la voie SNCF à l’arrière du bâtiment a été interrompue à cause des fumées importantes qui se dégageaient. Le tire-bouchon circulait de nouveau vers 9 h 30.
Heureusement que c’était un dimanche, il n’y avait que 5 employés sur place. Nous sommes une vingtaine à cette heure-là en semaine, indique Brendan Bihan, propriétaire de la boulangerie depuis une dizaine d’années. Mais cela arrive après le confinement, à la veille de la saison…
Devant l’ampleur de l’incendie, il craignait de n’avoir rien à récupérer
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