Voulez-vous vraiment voir ça?


La mouette est un éclat de rire, habillé de blanc, qui se moque de la gravité.
Il n’y a pas que le corail de la grande barrière en Australie qui provoque les inquiétudes. Les chercheurs s’interrogent aussi sur l’état de santé du corail au large de la Bretagne. L’Ifremer, l’Institut français de recherche pour l’exploitation de la mer lance une mission mercredi 4 août sur cinq ans pour analyser et cartographier ce corail d’eau froide, qui a bien évolué depuis un demi-siècle.
S’il ressemble au corail tropical avec des couleurs, ses petites branches, son écosystème, le corail d’eau froide est tout de même moins exotique. Il se développe dans le noir à plus de 500 mètres de profondeur, dans des canyons ou sur les monts sous-marins. L’Ifremer va donc partir à 350 kilomètres des côtes bretonnes, pour installer un observatoire à 1 000 mètres de profondeur, dans le canyon de Lampaul.
L’objectif est de collecter des informations, pour identifier et mesurer les menaces qui pourraient peser sur ces coraux, dont la répartition a bien changé, explique Julie Tourolle, du laboratoire Environnement profond : « Ce sont les pêcheurs, qui, au 19e et début du 20e siècle, ont recensé pour la première fois ces récifs de coraux. Dans les années 50, on a eu la première cartographie de ces coraux et ces massifs, on ne les retrouve plus maintenant. Cela peut être lié aux pressions humaines, ça peut être lié au chalutage, à la pollution plastique, au changement climatique et ça peut être une évolution naturelle aussi. »
Pour ces mesures, l’Ifremer va installer une plateforme de quatre mètres sur deux. Une exploration à distance, décrypte Bertrand Moreau, responsable de l’observatoire : « Ce sont des robots qui descendent. L’Ifremer possède plusieurs ‘roves’ [remotely operated vehicle], nous on va utiliser un petit qui s’appelle Ariane, qui est muni de bras manipulateurs et qui va nous permettre de déployer l’observatoire. »
« On se rend compte que ces récifs disparaissent de plus en plus et donc on s’interroge sur le pourquoi. » Julie Tourolle à franceinfoPour tenter d’élucider le mystère des coraux en eau froide, les chercheurs vont recueillir des données océanographiques et géographiques. Ils vont aussi filmer 15 minutes par jour. Le gros des informations sera stocké dans un ordinateur, protégé par un bidon en titane, qui sera remonté au bout d’un an.
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Morus bassanus
Avec 1,80 mètre d’envergure, le fou de bassan est le plus grand oiseau de mer de France métropolitaine. Présent aux Sept-Îles de la fin janvier jusqu’à octobre, il forme sur l’île Rouzic, une colonie de plus de 20000 couples. Depuis son implantation dans les années 1930, elle n’a cessé de croître.
Après la naissance de leur poussin, les parents se relaient pour le nourrir. Ils parcourent parfois jusqu’à 1000 km, dans un rayon de 100 km autour de leur site, pour s’approvisionner en poisson, de préférence en orphies et lançons.
Technique de pêche
Les pêcheurs écossais le nommèrent « fou » lorsqu’ils le virent plonger à pic, d’une hauteur de plus de 30 mètres parfois, droit dans la mer, pour capturer ses proies. Il arrive alors dans l’eau à une vitesse d’environ 90 km/h.
Plages, falaises et ports typiques : Belle-Île, la plus grande des îles bretonnes, porte bien son nom. Face à elle, la presqu’île de Quiberon et sa côte sauvage offrent un spectacle saisissant. Voyage iodé dans l’extrême sud du Morbihan.
La spectaculaire Pointe des Poulains, au nord-ouest de
Belle-Île-en-mer.
Bretonne pur beurre, Belle-Île-en-mer est un monde en soi. N’apparaissant d’abord que comme un trait posé sur l’horizon, elle dévoile sa magnificence au fur et à mesure qu’on s’en approche. Adulé par tous ceux qui y posent le pied, ce plateau rocheux long de 17km est un kaléidoscope de plaisirs marins et terrestres.
Lui faisant face, la fameuse presqu’île de Quiberon n’est pas en reste question paysages spectaculaires, ravissants hameaux et délices balnéaires. Sa baie est tout simplement l’une des plus belles du monde.
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Nul ne peut être contre le progrès et nul ne saurait condamner la nécessaire évolution des villes pour s’adapter au confort. L’architecture moderne n’est pas synonyme de laideur et les tours ne sont pas nécessairement synonymes de sacrilège. Mais il y a des limites à tout. Ces limites s’appellent esthétique, patrimoine, respect de l’environnement.
Depuis son arrivée, en 2014, la municipalité se livre à un bétonnage intensif de la ville de Quiberon. Constructions à un rythme effréné et au gré des opportunités foncières sont les marqueurs de la politique municipale de l’habitat, e l’aménagement et de l’urbanisme.
Les choix du maire et de sa majorité sont lourds de conséquence :
Qui décide ? un vrai problème de démocratie,
La densification urbaine est un véritable enjeu du développement durable. Les défis écologiques, le non étalement urbain sur les terres agricoles, liés au besoin de logement sont autant de paramètres pour aménager le territoire.
En direct : Quand Quiberon détruit son patrimoine !
Prendre conscience que nous nous dirigeons vers un mur c’est bien, mais, ne serait il pas maintenant, le moment d’agir ?
Repenser la ville a l’horizontale en y incluant des jardins, qui, en plus de faire beau, nous nourrirait ? Eviter de polluer l’eau inutilement parce que notre fierté ou notre bêtise refuse la réalité.
Nous voulons le meilleur pour nos enfants ! Posons nous les bonne questions ? Inventons une nouvelle façon d’être riche avec la composante bonheur !!!
Oui notre esprit est puissant, la preuve n’est plus a faire. L’intelligence c’est bien, on sait que l’on en a, il serait temps de s’en servir !!!
Plutôt qu’imaginer le pire, imaginons le meilleur !!! je suis sur que malgré tout le mal qu’on lui fait la nature elle nous aime encore. N’attendons pas qu’elle ne puisse plus faire autrement que de se débarrasser de nous, car n’oubliez pas que c’est encore elle qui commande.
Et, Oui nous ne sommes pas seul dans l’univers nous sommes entourés d’espèces différentes, mais pas dans l’univers, ici sur terre, tout autour de nous !!! quitter ce monde en le laissant meilleur pour les suivants serait une belle façon de partir…
C’était dans l’actu, et cela vous a peut être fait sourire : des drônes des forces de l’ordre parisiennes victimes de violentes attaques de… goélands. Mais alors, goéland ou mouette ?
Ils appartiennent tous les deux à la famille des laridés, qui se compose de 23 genres et de 102 espèces. Ils nous arrivent fréquemment de les confondre car ils partagent de nombreux attributs, à commencer par la couleur blanche de leurs plumes. Toutefois, il est assez facile de les différencier grâce à certains repères.
Mouvement oscillatoire du niveau de la mer, dû à l’attraction de la Lune et du Soleil sur la masse d’eau des océans, les grandes marées sont toujours surprenantes, fascinantes, intrigantes : mais où va l’eau pendant tout ce temps ?
Ce va-et-vient agite les esprits depuis la nuit des temps ! Une chose est sûre : en période de grande marée, la mer offre, en se retirant, un vaste terrain de jeu qui fascine autant que le phénomène lui-même :l es coquillages et crustacés !
Des moules de bouchot, qui selon la légende seraient sur l’estran depuis le XIIIe siècle, aux huîtres, connues depuis la préhistoire et appréciées par les romains en passant par la coquille Saint-Jacques, goûtée dès l’Antiquité pour sa chair succulente ou la spiruline surnommée « l’or vert » par les Aztèques : de tout temps, les coquillages ont fasciné !
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L’Arche de Port-Blanc ou de Port-Gwen ou encore appelée la Roche Percée, est l’emblème de la Presqu’île de Quiberon.
C’est une curiosité de la nature où l’érosion maritime a découpé dans la falaise une arche sous laquelle on peut circuler à marée basse.
Différents stades d’érosion sur différents niveaux géologiques s’y observent alors.
Située sur la Côte Sauvage (côte ouest), parking de Kergroix, route de Port-Blanc, proche de Portivy.