La mouette est un éclat de rire, habillé de blanc, qui se moque de la gravité.
Auteur : Le Haut Parleur
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Des perturbations sont attendues sur les traversées maritimes effectuées dans le Morbihan par la compagnie BreizhGo Océan du dimanche 26 au mardi 28 janvier 2025.
Les lignes en direction des îles de Houat et Hoëdic, Belle-Île-en-Mer depuis Quiberon et l’île de Groix au départ de Lorient vont être perturbées du 26 au 28 janvier 2025
Dans le sillage de la tempête Eowyn, la tempête Herminia va balayer la Bretagne. Dans le Morbihan, les conditions météorologiques vont perturber les traversées maritimes entre le continent et les îles.
Vous avez prévu de prendre le bateau dans les prochains jours ? En raison des conditions météorologiques attendues, des perturbations sont attendues sur les traversées effectuées par la compagnie Océane, devenue BreizhGo Océan.
Plusieurs rotations annulées entre les îles et le continent
Les lignes en direction des îles de Houat et Hoëdic, Belle-Île-en-Mer depuis Quiberon et l’île de Groix au départ de Lorient vont être perturbées. Voici ce qu’il faut retenir ligne par ligne :
Ligne Quiberon – Houat – Hoëdic :
– Dimanche 26 janvier : Toutes les rotations sont annulées
– Lundi 27 janvier 2025 : Horaires modifiés avec une seule rotation et escale à Port Haliguen. Départ de Hoëdic pour Quiberon à 8h30 (au lieu de 6h10) et d’Houat à 9h05 au lieu de 6h45. Départ de Quiberon pour Hoëdic à 11h au lieu de 8h20 et de Houat pour Hoëdic à 11h40 au lieu de 9h10.
Des perturbations sont également à prévoir pour la journée du mardi 28 janvier 2025.
Ligne Quiberon – Belle-Île-en-Mer :
– Lundi 27 janvier 2025 : Toutes les rotations sont annulées
Ligne Lorient – Groix:
– Dimanche 26 janvier 2025 au départ de Lorient : Annulation de la traversée de 19h30.
– Lundi 27 janvier 2025 : Annulation de toutes les traversées.
– Mardi 28 janvier 2025 : Au départ de Groix, annulation du départ de 06h50. Risque de perturbations pour les traversées suivantes
La mairie de la Ville de Quiberon (Morbihan) a mis à exécution sa menace
d’augmenter de 60% la part communale de la taxe d’habitation pour 2023.
Une décision inopportune et scandaleuse dans ses motifs
C’est du racket légalisé ! Et dans un contexte économique de plus en plus tendu, ce sont encore une fois les Français qui vont trinquer. Une hausse aussi massive (Quelle entreprise, quelle entité économique oserait doubler ses tarifs en un an ? Même l’Etat, fort endetté, ne se le permet pas !) n’est pas seulement inopportune : elle révèle un profond mépris à l’égard des résidents secondaires, avec en outre l’idée scandaleuse sous-jacente de leur faire quitter cette ville au plus vite, car considérés comme indésirables. Ce sont pourtant aussi des administrés qui méritent la même considération que les autres, ayant en outre largement contribué à faire la prospérité de cette ville depuis des années et à ce titre favorablement accueillis jusqu’alors. Ce discours stigmatisant, malgré les dénégations, est plus qu’une erreur, c’est une faute.
Une mesure inefficace pour répondre aux problèmes Les arguments invoqués : lutte contre la spéculation immobilière, réduction des locations temporaires, ne convainquent pas, car il existe d’autres moyens pour y remédier, comme l’impôt sur les plus-values, la limitation des locations saisonnières. En outre ces dernières bénéficient d’une niche fiscale de 50% qu’on aurait pu commencer à supprimer, avant de s’en prendre aux résidents secondaires.
Cette hausse sans précédent fera peser des charges très lourdes sur les propriétaires. Mais elle fera aussi exploser les prix des locations saisonnières et de vacances.
C’est du racket légalisé ! Et dans un contexte économique de plus en plus tendu, ce sont encore une fois les Français qui vont trinquer.
Le pire c’est que cette hausse est décidée par des résidents permanents. Alors que les habitants occasionnels, qui ne votent pas dans ces communes, devront la payer sans avoir voix au chapitre.
C’est un déni de démocratie !
Cette mesure s’inscrit une fois de plus dans une idéologie égalitariste mais ignore totalement la réalité de nos sociétés. Bien au contraire, elle renforce l’injustice en matraquant les résidents secondaires qui ne consomment pas autant de services que les résidents permanents : écoles, cantines, Ehpad, logements sociaux, aide sociale, traitement des déchets…
C’est une violation des Principes Fondamentaux !
Car cette mesure viole, en plus, l’article 13 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 qui prône une répartition équitable des charges publiques : « Tous les Citoyens ont le droit de constater, par eux-mêmes ou par leurs représentants, la nécessité de la contribution publique, de la consentir librement, d’en suivre l’emploi, et d’en déterminer la quotité, l’assiette, le recouvrement et la durée ».
En faisant peser cette hausse démesurée sur tous les résidents secondaires alors que beaucoup ne sont pas propriétaires de leur résidence principale c’est le principe d’égalité devant l’impôt qui est bafoué.
Pouvoir s’acheter un pied à terre ou une petite maison de vacances est un rêve qui représente parfois les économies de toute une vie. Cela ne signifie pas être « un riche propriétaire » pour autant.
Une mesure trop générale et donc injuste Et en quoi ceux qui possèdent leur résidence depuis plus de 20 ans et ne pratiquent aucune location meublée, sont-ils concernés ? Cette hausse, d’application trop générale, loin de les réduire, va augmenter en fait les inégalités, les retraités modestes ayant cotisé toute leur vie pour s’offrir un petit pied à terre au bord de la mer étant acculés à vendre. Et à qui ? A plus riches qu’eux bien sûr !
Ceci avait été voté le 27 Septembre 2023 par le conseil municipal de la Ville de Quiberon, au motif que «cette contribution est indispensable pour réussir le challenge » et « qu’à terme, nous serons tous gagnants » (!).
Monsieur le Maire, ces augmentations sont inadmissibles ! D’autant que vous écriviez vous même dans le rapport d’activité de 2023 que « la situation financière de la commune est saine et maîtrisée » ! Vous l’affirmer dans vos communications.
Quand vous déclarez que « faire évoluer les taux dans une communauté de communes est un moment très important », ne vous moquez-vous pas du bon peuple ?
Et plutôt que de faire exploser les taxes, ne pouvez-vous pas maîtriser vos dépenses ?
Vous oubliez que les résidents secondaires contribuent déjà fortement à la vie économique du territoire, grâce aux commerces, au nautisme, aux services de santé et du bien-être et aux autres services !
Quant à l’argument développé pour justifier cette augmentation, à savoir « la contribution au logement des actifs », c’est un faux argument et il existe bien d’autres moyens que la taxation des résidences secondaires pour atteindre cet objectif !
Monsieur le Maire, les résidents secondaires ne sont pas des moutons à tondre !
Nous demandons le retrait immédiat de cette hausse injustifiable.
Cette pétition est signée par tous ceux / celles conscients(tes) des enjeux, propriétaires, commerçants, artisans et responsables de programmes touristiques.
« Vivre Quiberon » un collectif fondée en 2020, souhaite promouvoir une écologie responsable en combattant le monopole médiatique des « pseudo-écologistes » et en militant pour une réelle écologie responsable et soucieuse des paysages, des traditions, des libertés. Il entend s’opposer farouchement aux thèses de l’écologisme et faire pression pour que les décideurs appliquent des propositions de bon sens. Elle exige notamment des bilans d’efficacité sur chaque mesure prise au nom de l’écologie par les responsables politiques en place, ce qui semble relever d’une transparence saine en démocratie.
Vous voulez cela près de chez vous :
L’éolien est polluant, tue des animaux et trouble l’être humain
Ce n’est pas la production d’électricité par éolienne qui est polluante, mais la construction, l’installation, et le démantèlement de ces engins. En effet, leur construction (en particulier en mer) nécessite l’utilisation de terres rares provenant en majorité de Chine. L’extraction est très polluante, qui plus est dans un pays qui ne respecte pas les normes environnementales européennes. L’étude insiste également sur les pales qui, aux Etats-Unis par exemple, sont enterrées car elles ne peuvent pas être recyclées (tout comme les batteries). A cela s’ajoute le fait que, pour des éoliennes terrestres dont la durée de vie est de 22 ans, il faut couler un socle en béton pesant jusqu’à 800 tonnes. Enfin, le rapport démontre que pour compenser le faible rendement de l’éolien, des pays, l’Allemagne par exemple, se tournent vers les centrales à charbon, au bilan carbone désastreux.
L’éolien est dangereux pour la faune. Les animaux volants sont victimes de collisions avec des pales : 250 000 chauves-souris (très utiles pour la biodiversité), 56 000 oiseaux divers, meurent ainsi chaque année, selon l’étude. Les vaches qui se hasardent à brouter trop près des moulins à vent version moderne sont également impactées.
Les animaux des mers et des océans ne sont pas épargnés. Les éoliennes offshore, de leur construction à leur utilisation, entraîneraient, chez les mammifères marins et les poissons, des pertes d’audition, des modifications du comportement, des blessures. Certains mourraient même, selon une étude réalisée en 2018 par l’Académie nationale des sciences américaines, à cause des ondes de pression, des changements dans leur alimentation et des modifications dans les migrations, que provoquent les éoliennes.
Quant aux humains… le bruit des pales, bien que réglementés par la loi, impacterait la santé des riverains. Pour l’Académie nationale de médecine, « Si l’éolien terrestre ne semble pas induire directement des pathologies organiques, il affecte au travers de ses nuisances sonores et surtout visuelles, la qualité de vie d’une partie des riverains et donc leur […] bien-être physique, mental et social ».
Rien de tout cela ne semble gêner les écologistes pourtant prompts à demander, pour bien moins que ça, l’arrêt de nombre de chantiers utiles.
Les éoliennes sont nocives pour les contribuables
L’énergie éolienne est fortement subventionnée, comme au Texas. Mais le rapport préfère s’attarder sur la non-concurrence et les taxes. L’électricité est un secteur concurrentiel et soumis au prix du marché. Sauf quand elle provient de l’éolien. Le prix d’achat de l’énergie éolienne est garanti par l’État, régulé et fixé par arrêté. Le surcoût est alors à la charge des consommateurs au travers des taxes, dont la fameuse contribution au service public de l’électricité, qui a augmenté de 650 % depuis 2002 !
Le contribuable paye les taxes, mais aussi les divers renflouements d’EDF par l’Etat. En 2013, c’est 4.9 milliards d’euros d’argent public qui ont été versés à l’entreprise. Le consommateur subit également les foudres de la fiscalité verte, telle la taxe intérieure de consommation sur les produits énergétiques, à l’origine de la crise des gilets jaunes.
Mais le coût de l’éolien ne s’arrête pas là. Il fait également perdre de la valeur aux biens immobiliers. Selon la London School of Economics, le prix d’une maison baisse d’environ 5-6% avec un parc éolien de 11 turbines visible à moins de 2 km. Non seulement l’Etat va dans certains cas jusqu’à exproprier les agriculteurs d’une partie de leurs terrains, diminuant leur production et leurs revenus, mais en plus les habitations subissent une décote injuste. Un danger pour l’économie locale et le tourisme
elle n’est pas toujours bienvenue auprès des agriculteurs, et elle affecte aussi les économies locales.
Cette énergie dite renouvelable coûte donc de l’argent au contribuable,
La pêche, notamment. L’installation d’éoliennes offshore provoque une grande inquiétude chez les pêcheurs. Déstabilisés par l’accord avec la Grande-Bretagne qui les désavantage, ainsi que par les normes et les réglementations qui les accablent, ils doivent maintenant faire face à ce qui apparaît comme un nouveau fléau. Dans les zones de pêche déjà restreintes par le Brexit, les monstres de béton et d’acier pourraient bien faire fuir les bancs de poissons…
L’énergie éolienne affecte aussi le tourisme, un secteur essentiel en France. Un rapport d’Action écologie reprend différentes études montrant que les éoliennes chassent les visiteurs à 20 km à la ronde d’une localité. Voire beaucoup moins, lorsqu’il s’agit de louer un hébergement. Selon l’association des hébergeurs touristiques de l’Indre, 97% des demandes sont annulées si des éoliennes sont visibles à 2 km ; à 10km, c’est encore 95% qui fuient.
Elles dévalorisent également le patrimoine culturel, naturel et historique d’une région. Quel amateur de beaux paysages applaudirait à la forêt d’éoliennes qui flanque la montagne Sainte-Victoire ? Les 22 mâts ont été déclarés illégaux fin mars par le tribunal administratif mais la bataille n’est pas terminée. Qui dit site naturel défiguré, dit moins, voire plus du tout de touristes. Et c’est toute une économie locale qui est pénalisée.
Cela fait longtemps que l’IREF dénonce avec force les supercheries de la transition écologique et le dénigrement acharné subi par l’énergie nucléaire, qui produit 75 % de notre électricité. Pour le même rendement, combien d’éoliennes faudrait-il installer sur le territoire ? Une centrale nucléaire est même plus propre qu’un parc éolien ! Elle émet moins de 10 gr CO2/ Kwh contre 14 pour l’éolien et 60 pour le photovoltaïque. Et grâce au progrès, que ce soit sous forme d’un laser réduisant la radioactivité des déchets d’un million d’années à 30 minutes, ou d’une fusion atomique qui n’en produit que très peu, le nucléaire a toutes les chances de rester la solution la plus viable et la plus écologique de production d’électricité.
Très gourmande, cette galette des rois originale est idéale pour changer de la recette classique. Frangipane et caramel au beurre salé composent cette galette facile à réaliser, parfaite pour célébrer l’Épiphanie !
Infos pratiques
Nombre de personnes6
Temps de préparation30 minutes
Temps de cuisson45 minutes
Degré de difficulté Facile
Coût Bon marché
Ingrédients
2 rouleaux de pâte feuilletée pur beurre
50 g de poudre d’amandes blanches
50 g de beurre ramolli
20 g de sucre
1 œuf + 1 œuf pour dorer
100 g de pâte de caramel au beurre salé
Étapes
Réalisez la frangipane au caramel au beurre salé. Dans un saladier, déposez le beurre mou, le sucre, puis mélangez jusqu’à obtention du blanchiment de la garniture.
Additionnez la poudre d’amandes, l’œuf et la pâte de caramel au beurre salé et mélangez.
Disposez une pâte dans un moule à tarte ou sur la plaque du four recouverte de papier cuisson et la piquez avec une fourchette.
Passez un pinceau trempé dans de l’eau froide sur 2 cm des bords intérieurs pour faciliter l’adhésion.
Garnissez avec la frangipane caramel sur environ 1,5 cm de hauteur, déposez la fève sur un bord (pour minimiser le risque de tomber dessus en coupant la galette !).
Refermez la galette avec la 2ème pâte, et collez bien les bords (scellez les bords avec un peu d’eau). Badigeonnez uniformément de dorure la surface de la galette en 2 fois en attendant un bon ¼ heure entre chaque couche.
Décorez la galette à l’aide de la pointe d’un couteau pointu puis piquez-la de quelques trous. Laissez reposer quelques heures au réfrigérateur.
Préchauffez le four à 180°C (th.6). Piquez la galette et enfournez-la à pendant 40 à 45 minutes.
Le bon accord vin
Appellation : un cidre ou un poiré
Conseils
Cette galette se consomme à température ambiante, mais elle est encore meilleure légèrement tiédie.
Vous pouvez réaliser la pâte à caramel maison si vous avez un peu de temps.